Nicolas Pacquot, Député Renaissance de la 3ème Circonscription du Doubs, communique :
« La vidéo (vidéo Facebook Géraldine Grangier) surjouée et me citant de la Députée Grangier d’extrême-droite, lui assure sans conteste la palme d’or de l’esbroufe et du ridicule. Comme toujours, un festival de gesticulations, de mises en scène grotesques et d’effets vidéos pour pas grand-chose !
D’autant que Madame Grangier omet de préciser que son amendement – dont elle fait tant de cas à grand renfort de communication… alors même qu’elle savait déjà qu’il avait été jugé irrecevable par les services de l’assemblée – ne sera même pas débattu dans l’hémicycle. Mon amendement, qui vise à inscrire dans la loi une réponse concrète à la captation de terres agricoles françaises notamment par nos voisins suisses, a lui été jugé recevable et j’espère qu’elle le votera des deux mains.
Il va sans dire que si le sien avait été rédigé de manière conforme et donc retenu, j’en aurais été satisfait, car ce qui m’importe avant tout, ce ne sont ni les effets de manche, ni la course effrénée aux likes, mais bien l’intérêt de nos agriculteurs. Non, Madame Grangier ne détient pas l’exclusivité des préoccupations des agriculteurs de notre territoire et je n’attends pas après elle pour agir et obtenir des résultats (interventions répétées auprès du Ministre de l’agriculture, question écrite publiée au Journal Officiel le 20 février 2024… bien avant sa PPL d’avril qui est d’ailleurs toujours dans les cartons…).
Je serais ravi de débattre avec elle de ces sujets (et d’autres), si tant est qu’elle accepte un jour un débat télévisé. En attendant, je suis très honoré d’avoir été désigné par la majorité comme chef de file de ce projet de loi d’orientation pour la souveraineté alimentaire et agricole et le renouvellement des générations en agriculture. Ce texte, travaillé en collaboration avec les syndicats agricoles, apporte des réponses concrètes aux préoccupations de nos agriculteurs, bien éloignées des querelles politiciennes de Madame Grangier.
Alors rendez-vous dans l’hémicycle ces deux prochaines semaines où j’espère que nous aurons des débats apaisés et constructifs, car il en va de la pérennité de l’agriculture française« .