Le Groupe Rassemblement National siégeant à la Région Bourgogne-Franche-Comté, communique :
« Le Salon International de l’Agriculture s’est tenu du 24 février au 3 mars 2024, l’occasion pour les agriculteurs, les éleveurs et tous les professionnels du monde agricole, de promouvoir leurs savoir-faire et de le présenter au grand public. Comme chaque année, les conseillers régionaux du Rassemblement National de Bourgogne Franche-Comté sont venus échanger avec les professionnels de la région. A l’heure où les technocrates de Bruxelles font voter à tour de bras des traités de libre-échange néfastes et que les politiques nationales noient la profession sous une avalanche de normes, les élus régionaux du premier groupe d’opposition ont tenu à apporter leur soutien aux exposants présents. Les agriculteurs peuvent compter sur les élus du Rassemblement National, qui se mobilisent chaque jour pour garantir des prix justes, la priorité dans la commande publique et la souveraineté agricole française.
Une personnalité manquait à l’appel : Marie-Guite Dufay, Présidente de la région Bourgogne Franche-Comté. Celle qui répète sans cesse être à l’écoute des agriculteurs n’a pas jugé utile de faire le déplacement pour les rencontrer. Responsable du fiasco scandaleux des fonds FEADER en Bourgogne Franche-Comté et d’un matraquage fiscal incessant, Marie-Guite Dufay aura sans doute eu peur de revenir du salon couverte de goudron et de plumes.
La présidente s’est retranchée derrière ses vice-présidents, envoyés en première ligne à sa place pour arrondir les angles. Une pièce de théâtre savamment orchestrée qui se termine en apothéose : le communiqué de la région qui présente le salon comme un grand moment de « réconciliation ». La majorité socialiste se retranche derrière de vagues coups de communication pour tenter de lisser un bilan cataclysmique et masquer la lâcheté de leur propre présidente.
Le groupe Rassemblement National de Bourgogne Franche-Comté réaffirme son soutien aux agriculteurs et regrette que Marie-Guite Dufay n’ait pas le courage de se confronter à la réalité de son bilan. Les agriculteurs vivent une situation difficile et ont besoin de soutien et d’écoute à l’échelle nationale comme régionale« .