A l’Atelier des Môles de Montbéliard, samedi 28 octobre 2017 à 20h30 : Sinner Sinners + The Videos.
Sinner Sinners, sont deux jeunes loups prometteurs du rock n roll. Originaire des Pays-bas et de France, le couple infernal a convoqué ses amis des deux côtés de l’atlantique (Cocoon, The Elderberries, The Morlocks, Time Again etc…) pour graver une première galette pleine de bruit et de fureur : Cardinal Sins. (UFO redords / Anticraft / Universal Publishing). Enregistré et mixé par Nic Jodoin (The Morlocks) au Studio 9 à Hollywood avec l’aide de Mike Patterson (Trent Reznor, BRMC, Beck…) et Pascal « Power » Mondaz, ce premier effort discographique digne rejeton du meilleur du punk 77 et californien 80’s qui convoque le fantôme des Cramps et du Bauhaus, est ensuite passé entre les mains de Paul Logus à New York (Pantera, Anthrax, Notorious Big…). L’artwork de Cardinal Sins est signé Dan Smith, célèbre tatoueur du Kate Von D’s High Voltage Tattoo.
Sinner Sinners a fait de nombreux concerts en Europe et aux Etats-Unis, les premières parties de The Sonics, The Creepshow, The Lords Of Altamont, une programmation aux Bars en Trans, un passage par le Bataclan à Paris et le duo finit par s’installer à Los Angeles, leur terre d’adoption. « Optimism Disorder » est exactement ce que le monde du punk et du métal a besoin actuellement. Une pure brutalité punk originale qui vient secouer les fans de hardcore et de metal avec un coeur très musical, une sévérité sur la réalité induite, des paroles « coup de pied » livrées avec anxiété, un choc-culturel qui permet au groupe de s’échapper de la dépression tout en restant concentré sur son avenir. Sinner Sinners gardent le punk rock en vie et on se souviendra « d’Optimism Disorder » comme d’un album qui a sauvé le genre punk de lui-même.
C’est le retour à la maison de Vince (ex-Brent, Vegastar, Die On Monday & Mass Hysteria) et de Jey (ex-Brent, Vegastar) pour The Videos. Ils se sont associés les services de de Flo (ex-Vera Cruz, Minimum Serious) à la batterie et Laura (Puss In Boots) au chant. Le combo parisien livre une bombe avec leur album « Drugs ». Pas de fioriture, d’entrée un gros son Garage Rock 90’s très brut, le groupe va à l’essentiel. On sent toutes les influences qui ont bercé ces musiciens, leurs morceaux prennent des nuances Punk, Hardcore, voire Grunge et la voix de Laura proche de celle de Brody
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