Le Mouvement Franche-Comté, par la voix de Jean-Philippe Allenbach, Président, communique :
« Pour le Mouvement Franche-Comté, dont l’objet est la défense de la Franche-Comté et de ses habitants, il est devenu aujourd’hui parfaitement clair, au vu de la situation politique, économique, sociale et fiscale française délétère, que la Franche-Comté (1 180 000 habitants) aurait tout à gagner et rien à perdre à devenir un état indépendant au sein de l’UE.
Tout comme le sont déjà certains pays d’une population inférieure à celle de la Franche-Comté comme Malte (575 000 h.), le Luxembourg (670 000 h.), Chypre (980 000 h.) ou légèrement supérieure comme l’Estonie (1 370 000 h.), la Lettonie (1 850 000 h.) ou la Slovénie (2 130 000 h.).
Ce qui permettrait à la Franche-Comté, entre autres, de pouvoir fixer elle-même ses taux d’imposition sur les revenus des personnes, les bénéfices des entreprises et les successions. Et donc de les mettre à un niveau plus bas que ceux du reste de l’hexagone afin de pouvoir ainsi renforcer l’attractivité de son territoire pour les personnes et les entreprises, avec tous les emplois et recettes fiscales qui vont avec.
Et ce, d’autant plus que comme le disait le socialiste Jean Defrasne dans son ouvrage « Franche-Comté et Francs-Comtois » : « Concernant la Franche-Comté, on peut sans exagération parler d’une véritable «nation», ce n’est pas là une invention du chauvinisme local mais un fait établi par l’histoire ».
En un mot, pour le Mouvement Franche-Comté, si on veut pouvoir aujourd’hui s’en tirer en Franche-Comté, faut se tirer !« .

