
Géraldine Grangier, Députée Rassemblement National de la 4ème circonscription du Doubs, s’exprime :
« Présente à Narbonne ce 1er mai, à l’occasion du traditionnel meeting du Rassemblement National, j’ai partagé un moment d’unité et de fierté aux côtés de nombreux Français attachés à leur pays, à leur identité et à la valeur du travail. Là-bas, un seul drapeau était à l’honneur : le drapeau tricolore, symbole de notre nation, de nos combats sociaux et de notre volonté de redresser la France.
À des centaines de kilomètres de là, à Audincourt, le spectacle offert par la manifestation dite « syndicale » fut tout autre : drapeaux palestiniens en tête de cortège, keffiehs, slogans importés sur un conflit étranger, tandis que les syndicats organisateurs eux-mêmes semblaient relégués au second rang, dépassés voire complices de ce détournement.
Je le dis clairement : le 1er mai n’a rien à voir avec le conflit israélo-palestinien. Il ne s’agit pas d’un meeting politique d’extrême gauche ni d’un défilé communautariste. C’est la fête des travailleurs français, de celles et ceux qui contribuent à la richesse de notre pays, souvent dans l’ombre et dans la dignité. Cette dérive est grave. Elle fracture l’unité nationale, dévoie le sens d’une date fondatrice pour le monde du travail, et révèle une fois encore l’aveuglement d’élus comme le maire d’Audincourt, qui n’hésite pas à qualifier de « génocide » un conflit international, au lieu de défendre les droits de ses propres administrés.
Mais l’espoir renaît partout en France. Le Rassemblement National incarne une alternative crédible, enracinée, déterminée à remettre les Français au cœur des priorités. Une première marche s’annonce avec les élections municipales de 2026, puis viendront les législatives, et enfin l’ultime rendez-vous démocratique : l’élection présidentielle. Car, comme le dit avec justesse Jordan Bardella : « Rien ne peut arrêter un peuple qui s’est remis à espérer ». Vive les travailleurs français. Vive la République. Vive la France« .