Géraldine Grangier, Députée Rassemblement National de la 4ème circonscription du Doubs, communique :
« Ce mardi 12 novembre 2024, l’Assemblée Nationale était appelée à se prononcer sur la première partie du budget de l’Etat, PLF 2025. La politique budgétaire d’Emmanuel Macron a plongé la France dans un endettement inédit, encore jamais vu sous la 5ème République. Faillites d’entreprises, libre-échange incontrôlé, politique de décroissance ont provoqué le déficit des comptes publics. Aussi, la mission du Gouvernement Barnier dans ce PLF a été de mener une politique d’austérité pour les français : hausse de la taxe sur l’électricité, hausse de la contribution des français au budget de l’UE, hausse du budget de l’AME (soins gratuits pour les clandestins), hausse du coût du travail etc…
Dans sa version initiale, le budget du gouvernement ne pouvait pas être voté favorablement. Sa version modifiée par les amendements de l’extrême-gauche qui augmentait les impôts des français et qui plombait la trésorerie de nos TPE-PME n’était pas envisageable non plus. Nous avons dû débattre et faire barrage à une multitudes d’amendements loufoques présentés par le Nouveau Front Populaire telle qu’une taxe sur les bouteilles d’eau, une taxe sur les ascenseurs, une taxe sur les carburants des pêcheurs, une taxe sur l’eau touristique, sur les assurances vie etc… Face à la folie fiscale de l’extrême-gauche, la Macronie et les LR de Laurent Wauquiez n’ont pas ou peu participé aux travaux parlementaires, votant parfois contre les amendements du gouvernement.
Le Rassemblement national, présent en masse durant les débats a défendu un contre-budget cohérent avec des économies sur le millefeuille administratif et le budget de l’immigration en menant une véritable politique de lutte contre les fraudes fiscales et sociales afin de rendre aux français leur argent. Comme mes collègues du Rassemblement national, j’ai voté CONTRE cette première partie du budget. Les deux nuances du Parti unique qui va de l’extrême-gauche aux LR de Laurent Wauquier en passant par les Macronistes, ont prouvé leur incapacité à proposer un budget de justice sociale et de progrès« .